L'invitation au voyage
L’été, le lac est une invitation au voyage. La plage de la nymphe à Collonge-Bellerive aussi. Comme la petite sirène danoise, elle nous chante une après-midi au soleil.
La commune associe, sur la rive gauche du Lac, proximité de la ville, à seulement 12 minutes du centre en bus, et douceur de vivre d’une campagne confortable. De ses champs des années 60, Collonge-Bellerive s’est transformée pour mieux accueillir ses habitants en quête d’ailleurs.
Les deux villages de Collonge et de Vésenaz ont en effet de quoi séduire les nouveaux campagnards. La marina de la Belotte, la réserve de la Pointe à la Bise, la plage de la nymphe sont autant de voies vers la détente.
Au plaisir s’ajoutent les aspects pratiques de la présence des écoles primaires et du cycle d’Orientation de Bois-Caran ou encore des grands centres commerciaux de Vésenaz.
Enfin, la culture, elle, a trouvé son cœur dans l’Epicentre, construit dans une ancienne ferme de bétail. Depuis 2000, des artistes du monde entier s’y sont produits, comme Jérémie Kisling, Cats on Trees ou Ibeyi. Les amoureux du classique s’y retrouvent aussi grâce au Festival de Bellerive qui enflamme la ferme de Saint-Maurice en juillet. Les soirées d’été sentent toujours bon les rires et le barbecue à la Savonnière ou au Tennis-club du village.
Si Collonge-Bellerive est un passage pour certains, il est fort probable que d’autres s’y installent, et que les générations s’y succèdent pour ne jamais s’en aller.
L’été, le lac est une invitation au voyage. La plage de la nymphe à Collonge-Bellerive aussi. Comme la petite sirène danoise, elle nous chante une après-midi au soleil.
Grimpez le chemin de la Plantée du Chêne pour rejoindre le chemin du Petray puis de la Gentille. Le panorama est merveilleux pour une promenade, des champs au lac.
Créé en 1976, le Centre Artistique du Lac (CAL) est le lieu d’apprentissage et de création artistique de la commune : de la danse au solfège en passant par la musique, le théâtre ou encore la peinture. 35 ans d'existence, 450 élèves et 30 professeurs !
Collonge-Bellerive fut mon premier contact avec Genève mais aussi avec la Suisse. Je m’y suis installée avec ma famille en 1965. Si la vie m’a amenée à Carouge ou à Meinier, c’est à Collonge-Bellerive que j’ai souhaité revenir, pour construire ma famille.
C’est le lieu de vie idéal, si proche de la ville et pourtant il y fait bon vivre comme à la campagne. On connaît nos voisins, on accueille les nouveaux arrivants. Parce que c’est un peu comme dans une grande famille.
J’aime la proximité du lac et des champs, ce qui est d’autant plus pratique quand il s’agit de promener mon chien. Au fond, Collonge parle à mon cœur de jeune fille de 11 ans autant qu’à la femme que je suis devenue. Collonge sera toujours le lieu qui nourrit mes rêves et mes espoirs.